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| | Présentation de Shima Kokaku [En cour] | |
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Shima Kakoku Rokudaime Mizukage
Messages : 19 Date d'inscription : 28/12/2009 Localisation : Kiri no Gakure
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| Sujet: Présentation de Shima Kokaku [En cour] Lun 28 Déc - 19:40 | |
| | B r o k e n
D r e a m | « Fais moi découvrir les sommets de l'expérience et leurs sordides profondeurs. Rends-moi folle de plaisir, puis torture moi avec douceur. Emmène-moi jusqu'au bout, partage avec moi ta joie et ta colère, apprends moi à connaître mon corps, comme tu connais le tien. » | ♣ SHIMA KOKAKU ♣Vivre est un devoir, rien d'autre. ♥× Elle est belle, décriée × L'outragé mais j'en ai rien à faire ×
...I'm a kid, and that kid is ...
• Prénom : Shima. • • Nom : Kokaku. • • Age : 18 ans. • • Naissance : Kiri. • • Pays : Kiri. • •Code du règlement : Aiku Valide !• •Connais tu le Rp ? Si oui, depuis combien de temps ? : Pas mal de temps, pas loin des 6 ans.• •Connais tu Naruto ? Oui. •
...Portrait
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Une part d'Histoire.
Princesse, douce Princesse, cruelle princesse malgré tout. On dit que les princesses sont toutes douces gentilles et serviables ... Mais elle, c'est une future reine, cela devrait-il la changer ? Oui forcément, n'est pas reine qui veut, n'est pas Shima Kokaku qui veut.
« Je m'appelle Shima Kokaku. Ne me prenez pas pour une vantarde, mais plutôt pour quelqu'un de blasée, Dix huit ans, plus douée que n'importe quel étudiant de mon âge, un physique à se damner, un nom à se damner d'ici peu ; mon simple nom vous fera frémir jusqu'à la moelle. Pourquoi ? Parce que vous enviez la moindre partie de mon être, de mon existence, parce que je suis tout simplement. Etre ou ne pas être disait un écrivain. Mais je vous exècre, je vous maudit, vous n'êtes rien pour moi, si ce n'est source d'inspiration ou de désir peut-être ... Pas grand chose en soit, un simple passe temps. Et bientôt vous ne me haïrait plus pour le côté doué, fort et sans peur que j'affiche, oh non ... Mais Bientôt .. »
Petite princesse douée, majestueuse, magnifique, apparue dans ce monde de fou, un beau jour sans qu'on n'y comprenne rien. Mais cette petite princesse n'est pas ce que l'on croit ... A force de jouer on fini par s'y perdre. Mais elle se délecte du jeu. C'est ça qui la perdra.
Décrivez moi.
Une poupée. Une photo, quelque chose qu'on n'ose toucher tellement ça semble cassable. Une poupée étrange, un sourire mélancolique, et parfois hautain peint sur le visage. Irréelle et pourtant là. La jeune femme est petite, ne dépassant pas le mètre soixante huit, et mince. Une silhouette régulière assouplissant chacun de ses gestes lui donne une démarche svelte presque féline pour certains. Mais malgré tout, une faiblesse l'occupe. Elle est belle, et d'une grande aisance, mais elle n'est pas imposante. Bien heureusement. Enfin, pas imposante, il n'en reste pas moins, que quand elle marche, on la regarde passer. Démarche lente, sûre d'elle, mais aussi légère ce qui va de soi pour une fille. Ses cheveux sont à l'origine d'une couleur blonde, tirant vers le châtain comme ceux de sa mère et surtout brillants, depuis quelques temps, pourtant, elle les aborde de plus en plus blond, mais ça ne jure pas chez elle. Non la blondeur en plus est naturelle, à force de rester trop longtemps au soleil, ou à la lumière. Naturelle au possible dans son apparence. Un joli rayon de soleil. Allongés jusqu'au niveau de ses omoplates, voir le haut de son dos, ils ont une certaine tendance à boucler naturellement, encadrant alors son visage d'une auréole de lumière. Pourtant, elle a pris l'habitude de lisser ses cheveux, ces derniers devenant une cascade lui tombant alors jusqu'au bas de son dos. Elle a aussi l'habitude de remettre ses cheveux en place, derrière ses oreilles, certaines de ses mèches se plaçant négligemment devant son visage unifié, depuis un reste de frange datant d'il y a longtemps sans doute. En parlant de son visage, ce dernier est poudré, presque trop blanc, et sans aucune impureté. On pourrait facilement se demander si la jeune femme a ce délicat visage avec, ou sans artifices. Quoiqu'il en soit, ce visage angélique semble alterner mine froide, et sans sentiment, et mine sadique, qu'on ne lui voit que peu. Mais le côté arrogant est présent sur son visage. Un jeu de mimiques importantes. Chaque sourire, chaque regard, tout est minutieusement travaillé quoi que naturel. Naturel, mais robotique. Comme si on avait enlevé son âme.
Le visage, de forme ovale et aux traits fins et lisse, est surtout mis en valeur par de fines lèvres bien dessinées. Ce sourire souvent étrange, ou encore mélancolique, à peine visible semble être l'un des principaux atouts physiques de l'adolescent. Les yeux en amandes, d'un bleu froid et glaciale, son regard semble être inexpressif, et neutre, voir parfois un peu trop froid, trop triste, mais jamais heureux ou pétillant, ou alors d'un joie malsaine, mais l'indifférence remporte le plus souvent. Élégante, on ne peut dire le contraire. Étrangement même habillée avec une tenue de Shinobi, elle serait élégante. L'a jeune femme semble faire de son apparence un art sans pour autant le vouloir, la simplicité avec laquelle elle s'habille semble être le summum de l'élégance. L'identité d'élève modèle ne lui plait pas, mais elle ne peut alors qu'éviter le conformisme habituel. Shima a l'habitude de paraître belle, attirante, en toute circonstance. Une simple robe trouée chez elle semble devenir le modèle même d'une mode dite destroy. Son côté quelque peu enfantin, digne d'Alice aux pays des merveilles lui assure que tout vêtement lui aille. C'est pourquoi elle n'a pas vraiment de préférence, tant que ça lui va, et il faut que ça sorte de l'ordinaire sans pour autant devenir quelque chose de marginale, mademoiselle ne supportant pas la banalité, elle n'aimerait pas se retrouver habillée comme les autres.
Ce qu'elle est et ce qu'elle pense.
- Spoiler:
Pensez-vous que la perfection existe sur Terre ? Pensez-vous que Dieu ait pu créer quelque chose de plus parfait encore que l'être humain, si encore ce Créateur existe ? On peinerait presque à y croire. On peinerait presque hélas, et on en rirait. Parce que on a tellement été déçu par le monde, parce qu'on a vu tellement de vices et de pêchés, parce qu'on a tellement cru en tout, à tout, avant de retomber violemment qu'on ne peut plus y croire. Pourtant la perfection existe. Oui selon les Shinobi, elle existe. Non pas au niveau de l'apparence, nos amis les Bijuu se valant tous. Non, mais écoutez les murmures. Entendez-les chanter les louanges de cet être. Entendez-les clamer sa beauté, son intelligence sa personne, l'élevant au rang de Dieu alors qu'il n'est que elle-même. Oui on ne croit plus à la perfection. On n'y croyait plus avant de la voir elle, elle tout comme sa mère. Mais elle d'abord. Un visage, une stature, une aura. Un être. Elle. Shima Kokaku. Princesse ou reine, elle en a la stature mais elle n'est pas que ça, elle est la perfection même aux yeux de tous. Va savoir pourquoi, elle n'est qu'elle-même. Mais son être est un art. Un art perfectionniste, et le pire sans doute et que c'est naturel chez elle. En tout cas ça semble l'être. Mais elle a été façonnée. Façonnée, refaite, modifiée jusqu'à atteindre ce perfectionnisme voulu, jusqu'à ce que ça en devienne naturel chez elle. Tout est naturel que se soit le charisme, son maintient, son langage, tout en elle n'est que réalisme, et un réalisme déroutant. Parfois on se demande presque naïvement si ce n'est pas un tableau qui serait devenu vivant tout simplement. Mais alors ce tableau a été façonné avec le temps, façonné avec soin et délicatesse pour faire de cette fille, ce qu'elle est. Un modèle parmi les Kunoichi, quoi qu'on pourrait peut-être pousser un peu, en ajoutant un modèle pour tous.
Autant être réaliste et le dire tout de suite, Shima n'a presque aucun défaut. Prodige, ou perfection elle ne pourrait se permettre d'en avoir. Si on décrit la personne de loin sans trop s'approcher on peut tout de suite dire plusieurs choses. De un, il n'y a pas de Kunoichi à Kiri ayant un charisme aussi prononcé, et aussi attirant. Elle est belle, elle est naturelle, elle ne choque pas. Elle n'en n'a pas besoin. Elle attire naturellement. Phare pour les bateaux, guide pour les enfants perdus, elle inspire naturellement la confiance. Elle est tout simplement. Même pas arrogante. Trop gentille, trop parfaite, mais sans doute l'aime-t-on pour ça et heureusement. Un charisme, une prestance digne d'une reine, on s'écarterait presque sur son chemin. On le fait en y repensant. Une démarche féline, souple, sûre, elle n'a pas peur de se montrer tel qu'elle est vraiment, sans vraiment avoir de parti sombre dans sa vie, dans son caractère. Enfin le pense-t-on. De deux, elle est tout simplement inatteignable. Elle est la fleur interdite, la fleur parfaite glacée dans la résine. La fleur qui ne fane pas et qui ne change pas. Un chef d'œuvre. Un chef d'œuvre magique. La douceur alliée à la distinction, la prestance à l'éloquence, l'autorité à la connaissance. Cette demoiselle est un savant mélange faisant de cette fille un leader incontesté. Conquérante, convaincante, tout ce qu'elle entreprend semble être une réussite. Et forcément on la jalouse. Mais qui a-t-il à jalouser ? C'est presque avec regret qu'on admettra autour d'elle que Shima n'est pas du même niveau. Et c'est sans doute vrai. Elle n'est pas du même niveau et le fait bien sentir, s'abaisser ? A la rigueur si elle en trouve un intérêt, aller voir des gens ? Il en va de même, c'est elle avant tout. Un peu égoïste certes, mais quel être humain peut prétendre ne pas l'être ?
Si on s'attarde sur plusieurs points de son caractère on pourra voir que Shima n'est pas si parfaite que ça. Mais ne cassons pas le mythe, commençons pas le commencement. Shima est quelqu'un de naturellement doux. Tout chez elle est emprunt d'une douceur, et d'une grace presque un peu déroutante pour en devenir risible. Mais chez elle ça ne choque pas, bien au contraire. Ça fascine. Créature fascinante, la douceur semble être le maitre mot de sa personnalité. Douce mais froide, il semblerait pourtant que sa propre petite personne n'a pas autant d'intérêt qu'on ne le pense. Oui Shima fait parti de ces personnes qui n'hésiteraient pas à sacrifier leur propre personne pour les autres ou des desseins plus grand. Elle a choisis, ou peut-être a-t-elle été forcée, qu'en savons-nous, de sacrifier sa personne pour la cause d'un grand Shinobi. Étrangement on aurait pu la haïr à la voir jouer les appâts, à être partisans de cet Etre, et encore faudrait-il le savoir, mais on ne peut que l'admirer. Oui on ne peut qu'admirer cette \"princesse\" parce qu'elle respecte sans doute plus que quiconque les idéaux de ce Monde. Ce qui nous amène à un autre point de sa personnalité. Manieuse des mots. Oui tout simplement pour cette fille les mots n'ont plus aucuns secrets. Toutes les subtilités, tous les sous-entendus, elle les connait, les comprend, les utilise sans mal. Oratrice de haut niveau, son maintien aristocratique, sa voix douce, basse et froide, quoi qu'envoutante passionne même les plus lassés. Elle parle et on l'écoute. Parce qu'elle parle sans doute mieux que quiconque, parce que chacune de ses paroles coulent comme du miel, parce qu'on boit ses paroles, on l'écoute, et on comprend tout et on est obligé d'acquiescer, que ça soit à cause de son timbre doux, de ses mots rassurants, ou de son regard lointain, chercheur, son regard qui semble tout voir, tout comprendre derrière son côté inexpressif tout simplement. Oratrice de génie, envouteuse envoutante, perfection délectable. Un petit défaut viendrait peut-être un jour ce tableau de rêve, mais on ne lui en tient pas rigueur vite captivé, c'est sans doute sa façon étonnante de mêler le moderne et l'ancien, et de reprendre cette ancienne habitude de parler comme autrefois de parler comme parle un aristocrate, de manière détaché, absente, et tellement belle et poétique ...
Le calme est également un des maîtres mots de sa personnalité. Calme, froide, presque sans sentiments pour certains, elle n'est pas du genre à s'énerver. Non jamais. Personne ne pourra se vanter un jour de l'avoir vu perdre son calme, de l'avoir vu hurler, ou perdre sa maitrise de soi. Non, calme, et maîtresse de ses sens, elle n'en devient que plus forte encore. Cela ne veut pas dire qu'elle n'a pas de sentiments, non bien au contraire, Shima est sans doute quelqu'un de très sentimentale, juste qu'elle a appris à ne pas les montrer et à devenir maître de ses émotions pour ne pas souffrir. Oui elle est calme, mais elle est également patiente. Peu de personnes peuvent se vanter de l'avoir fait perdre son sang froid, ou alors l'avoir vu se précipiter pour une chose ou une autre. On retrouve particulièrement l'image de sa patience quand on la voit jouer du Kunaï ou encore du Shuriken. Excellant dans ses deux arts c'est un virtuose aux doigts de fées dont la vitesse semble enchanter tout autant que ses mots ou son apparence. Passionnée de littérature, si un jour vous cherchez à la retrouver et que vous n'entendez pas de bruit d'armes, elle saura forcément à la bibliothèque du village. Extrêmement cultivée, son intelligence est profonde, souterraine. Grand stratège, elle analyse les gens autour d'elle, les cernant d'un regard ou d'une pensée même, et elle ne se trompe que rarement. On vient la voir pour des conseils, pour son jugement parce qu'elle semble avoir un don pour cerner les gens. Mais derrière cette image de princesse parfaite se cache un autre portrait, un portrait qu'on a souvent tendance à oublier, et qui pourtant est redoutable et redouté de tous.
Un regard dur, un air contrarié, un air hautain et dérangeant, est-ce bien là la princesse avenante dont on vient de faire le portrait ? Hélas il semblerait que oui, car malgré tout elle a également un mauvais côté. Un mauvais côté qu'elle ne montre que peu, mais dont on devait forcément s'attendre. La perfection est après tout un équilibre entre le bon et le mauvais. Car oui même Shima peut se montrer mauvaise. En effet notre demoiselle ne supporte pas qu'on la déçoive, ou simplement les personnes dotées de mauvaises intentions, envers elle, ses idées, ou encore celles qui l'énervent. Et pour ce genre de personne, hors de question d'être complaisant, non, hors de question. Et c'est si triste de sentir son regard d'habitude si doux, se poser sur nous d'une façon froide et méchante. Mais le regard n'est rien à côté des mots. Car mademoiselle est une manieuse des mots. Dans sa bouche rappelez-vous ceux-ci prennent tous leur sens, et le cynisme, l'ironie le sarcasme, choses qu'on pensait que Shima n'userait jamais apparaissent alors cassant plus que possible, rabaissant la personne décevante en face d'elle. Un humour noir, un caractère irritable, elle attaque. Elle attaque pour se défendre, pour remettre en place les plus audacieux, les plus téméraires. Mais pas seulement, elle attaque aussi par jeu, pour s'amuser. Torture psychologiques. Oui torture qui finit irrémédiablement par la défaite de l'autre. Elle connait les faiblesses, les exploitent et déciment ceux qui la gène. Et parfois elle en vient à la Torture. Parfois. Seulement quand les mots n'ont plus assez d'influence, quand sa simple personne ne peut plus rien faire. Et irréfutablement elle gagne à nouveau. Adversaire de haut niveau. Aucune violence, non juste une bataille froide, rangé. Des coups précis, silencieux, pas d'effusion rien. Elle a déjà tué, la mort ne lui fait pas peur, alors elle sait garder tête froide, bien heureusement pour elle.
Mais derrière cette image parfaite, et cette princesse si dure envers ses ennemis se cache une dernière facette. Presque insignifiante pour certains qu'on a une légère tendance à l'oublier, à l'occulter. Shima aussi parfaite Kunoichi, et \"princesse\" qu'elle soit, aussi belle, aussi charismatique et \"appréciée\", respectée qu'elle soit ne supporte pas sa condition de Kunoichi, sa condition de vie. Etrange n'est-ce pas ? On se demande toujours pourquoi une demoiselle si aboutie peut détester ce qu'elle est, mais c'est le cas de Shima. Un cas qu'elle tait. Elle envie les autres plus que quiconque, elle leur envie leur vie, leur vieillesse, leur mort, les regardant vivre d'un air un peu trop mélancolique qu'elle justifiera par de la pitié non intentionnelle. Elle n'est pas menteuse ou bonimenteuse non, elle est juste un peu envieuse. Envieuse et surtout lassée. Elle est lasse de sa vie, de tout ce qu'elle peut faire, elle connait le monde, elle l'a vue et revue. Elle sembla avoir tout vu, tout fait, tout testé, tout gouté. A quoi bon le visiter une énième fois ? A quoi bon continuer encore et encore. La mort l'attire. Comme une amante elle l'attire, mais elle ne s'en approche jamais. Parce qu'elle n'est pas quelqu'un de lâche qui fuit la vie et ses responsabilités voila tout. Non Shima n'est pas dans ce genre. Elle affronte toujours et assume toujours le tout de son air un peu hautain qu'elle affiche naturellement sans s'abaisser à supplier ou à demander pardon pour des erreurs. Erreurs, un mot qui nous emmène à la conclusion. Enfin ce n'est pas vraiment une erreur, c'est juste une étrangeté dans le comportement de Shima. Comment un être si calme, si posé peut devenir joueur, provocateur et perdre tout ses moyens ? Tout simplement en le mettant dans la même pièce que sa mère. Oui mère, Kanoe. Il n'y a qu'elle qui lui fait perdre tout ses moyens, qu'elle qui la rend presque vivante, humaine et protectrice. Oui protectrice. Shima ferait tout pour sa mère, même sacrifier sa vie, ses idéaux, et c'est bien malheureux pour cette créature parfaite. [/size]
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Dernière édition par Shima Kakoku le Lun 28 Déc - 21:21, édité 4 fois | |
| | | Shima Kakoku Rokudaime Mizukage
Messages : 19 Date d'inscription : 28/12/2009 Localisation : Kiri no Gakure
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| Sujet: Re: Présentation de Shima Kokaku [En cour] Lun 28 Déc - 19:41 | |
| Once Upon a Time ... Il y a dix Huit ans de cela, une jeune fille rencontra son prince ...Je ne me suis jamais appelée Shima Kokaku quand je suis née. Je ne sais même pas mon vrai nom, Shima est le dernier souvenir d'un monde perdu, foutu, et absent, d'un monde qui me servit de passé. Le dernier souvenir excepté ma mère. Kanoe. Elle, moi, moi, moi, c'est devenu une ritournelle. La mélodie incessante de mon train de vie. Une vie au tempo allegro sur un piano déchainé, et au violon hurlant. Ma vie ? Je ne la connais pas. Je ne vois pas l'intérêt de la connaitre. Je m'appelle Shima Kokaku, amnésique pour mon plus grand plaisir, et futur cauchemar de votre cher Village pour votre plus grand malheur. La vie est mal faite parfois ... Le bonheur des uns contre le malheur des autres. C'est mon bonheur contre le votre, et désolée d'être si égoïste mais mon bonheur passe avant toute chose. Enfin si on peut encore parler de bonheur. Parlons plutôt de profit. Je m'appelle Shima, j'ai actuellement dix-huit ans et ma vie ne sera jamais plus qu'une farce. Enfant perdue, esseulée, mais vivante. Le principal. [/size] Prologue : Oblivion.[Où quand le passé n'aurait pas dû être oublié.]
« Shima veux-tu bien m'aider à mettre la table ? » résonna la voix d'une femme à travers l'escalier. Sa mère pensa-t-elle simplement. Mais la jeune fille était peu encline à descendre, plus occupé à s'amuser avec son ami sur les dernières trouvailles qu'ils avaient trouvés à Kumo. Des Farces et Attrapes, venus d'un nouveau magasin ouvert par des jeunes adolescents. Elle eut un sourire de connivence avec Tom avant de se cacher, connaissant d'avance la réaction de cette femme. C'était inné. Quelque chose de normal. Réaction qui ne tarda pas vu que la porte de la chambre frappa avec force le mur. « Shima !! Est-ce que ... Tom ... Où se cache Shima ? » Demanda la mère, ça ne pouvait être qu'elle, exaspérée quand au fait que la jeune fille se cachait encore. Et elle se doutait bien que Tom ne dirait rien, pour ne pas la trahir. A raison. Et même si parfois c'était insupportable pour les autres, de les voir se défendre l'un l'autre, ça n'en restait pas moins attendrissant. Si proches, si liés, ils semblaient aussi proches que de vrais jumeaux. « Shima » reprit alors la femme un air dur au visage, parlant au vide de la pièce. « Si tu ne viens pas tout de suite, je te jure que tu n'auras pas ce sac que tu veux tant le jour de ta promotion. » « M'man, c'est bon j'arrive, mais tu sais très bien que ce sac va à merveille avec la robe de Kunoichi !! » cria la jeune fille indignée, c'était elle, sortant du dessous du lit, ne se remettant pas du chantage de sa mère sous les rires de son ami. « Oh !! Toi ça va ... Traître !! » « Shi ... Je ne me moque pas ... J'te jure ... » Essaya de répondre le jeune homme entre deux rires. Cet enfant c'était son ami elle le savait. Mais cette scène était étrange. Elle n'aurait pas dû s'en souvenir ...
Et ce fut le noir à nouveau. Et la lumière envahit l'espace, une fois de trop.
« Shima tu m'entends ? demanda alors une voix au dessus d'elle, la forçant à ouvrir les yeux pour croiser le regard de Kazuma, un médecin, à la solde du Village. Se frottant doucement les yeux, elle se releva du lit sur lequel elle était étendue, vêtue d'une simple chemise. - Oui pSensei ... répondit-elle la bouche pâteuse. - De quoi te souviens-tu ? Qu'est-ce que tu as vus ? La voix sonnait comme un ordre. Une voix à laquelle il fallait obéir. Alors elle répondit, parce qu'elle ne devait faire que ça. Obéir. Un gène, quelque chose d'instinctif chez elle. - Tom et moi ... Dans une maison ... Je pense avec ma ... et le mot fut difficile à dire. Parce qu'elle ne pouvait pas avoir de mère. Parce que ça défiait toute logique. Parce qu'elle et Tom n'avait pas de parents ... - Avec ? Redemanda le docteur d'un air intéressé. - Avec ma génitrice ... Génitrice, un mot beaucoup plus simple à prononcer dans la bouche de la jeune fille que le mot mère. - Je vois, nous ne sommes donc pas tout à fait au point. Rallonge-toi, nous allons continuer le traitement. »
Et la jeune fille se rallongea parce qu'elle n'avait rien d'autre à faire. Son regard se porta machinalement sur le mur de gauche, mur qui la séparait de son ami, et mentalement elle pria de tout oublier. Parce qu'en oubliant tout, elle savait qu'elle aurait droit de revoir son Tom, de lui parler, autrement que dans ses rêves, ses songes, ou ses pensées. Parce qu'elle s'appelait Shima, et qu'elle était la future arme de Kiri avec son tendre Tom. Parce qu'un jour, ils avaient osé attirer son attention, et que depuis il ne devait plus se souvenir. Parce qu'être un cobaye d'examen ce n'était rien quand on savait que l'horreur se trouvait derrière ou dans la fuite. Elle avait eu un père, un aristocrate, une mère, une Kunoichi, elle avait vécu a Kiri,.Et ce passé là, elle devait l'oublier. Une arme n'a pas de passé. Elle n'a que de l'avenir dans les mains de son maître.
Et son maître, il était celui qui régnerait des années encore. Kiri no Kuni.Story : Memories. [Où quand la mémoire joue de mauvais tours.]
Il y avait plein de choses dont elle n'aurait pas dû se rappeler. Tellement que la jeune fille avait déjà oublié, et d'autres qui disparaitraient peu à peu de sa mémoire maniée et remaniée encore et encore. Pour certains le procédé aurait pu paraître effrayant mais pour elle il n'en n'était que plus banal. Rien n'était plus normal pour elle que d'oublier qui elle était, qui avait bien pu lui donner vie, si ce n'est Kiri en tant qu'arme. C'était bien malheureux de penser cela, mais Shima avait déjà oublié le nom de ses parents. Cela avait été aussi facile que d'agiter un Kunaï. Se repliant un peu sur elle-même, et se refusant encore à ouvrir les yeux, elle ne pouvait que revoir ce qui serait bientôt oublier. Les souvenirs ne restent pas, tout comme les paroles, seuls les écrits restent. Hélas, il n'y avait pas d'écrits pour ce qu'elle avait vécu, seulement pour ce qui serait à venir. Pourtant il y avait des souvenirs plus marquants que d'autres, des souvenirs qu'on ne pouvait oublier si facilement que cela. Parfois des mots, parfois des lieux, une phrase. Quelque chose qui arrivait à briser cette barrière qui commençait à se faire autour de son esprit. Parce que ce n'était pas simplement une amnésie. On peut toujours retrouver sa mémoire, non il fallait l'effacer et l'éradiquer. Mais à croire que les souvenirs n'étaient pas trop pour ...
« Shima ! Retourne dans ta chambre avec Tom et enfermez-vous ... Nous on va voir ce qui se passe dehors. » Un homme. Un homme qui semblait inquiet pour elle. Encore une fois elle eut un déplaisir à se souvenir que cet homme était son père. « Mais !! » s'écria-t-elle bien malgré elle avant d'être poussé dans les escaliers, tandis que des cris commençaient à se faire entendre dehors. La peur prit possession de son corps tandis qu'elle allait s'enfermer dans la chambre avec Tom, agitant son Kunaï avec terreur pour placer un meuble devant la porte tandis que son ami se chargeait de fermer toute les issues. Elle pourrait presque se souvenir de sa terreur à cette époque. Elle n'avait que treize ans. Elle ne comprenait pas ce qui se passait dehors, et dans les bras de Tom elle ne pouvait s'empêcher de trembler. De trembler quand à la suite, quand à ce qui allait se produire. Car il allait se produire quelque chose, les éclairs qu'on pouvait apercevoir à travers les rideaux n'avaient rien de rassurant. « Tom ... » Commença-t-elle d'une voix hésitante. D'une voix qui montrait qu'elle allait bien éclater en sanglots. « Je sais ... Moi aussi. » Son ami était peut être un peu plus courageux. En tout cas, il était comme elle. Il avait peur. Peur de ce qu'il pouvait y avoir dehors, de ce qui retenait leurs parents dehors. Mais l'attente ne fut pas si longue. Une heure tout au plus. Une heure durant laquelle, une vive lumière éclaira la fenêtre et ne disparut jamais. N'osant pas s'approcher de celle-ci, assis entre le bureau et le lit, ils ne surent jamais que c'était la maison d'en face qui brûlait. Une porte claqua en bas. La jeune fille étouffa alors son hurlement à travers des sanglots. La chose de dehors allait bientôt arriver. Cinq ... Quatre ... Trois ... décomptait-elle mentalement à travers les larmes et sa peur. Deux ... Un ... La porte explosa, le meuble avec, laissant apparaitre plusieurs hommes au masque étrange. Une tête de loup. « Tuons-les ... Ceux ne sont que des gosses, pas de quoi s'amuser longtemps ... » L'ordre sonna implacable. D'un homme qui s'appelait Pupet. Pupot, ou Piang, elle ne savait toujours pas les différencier, et à l'époque elle ignorait son nom. Et quand l'ordre fut donné, elle se souvint de ses sanglots, de l'étreinte des bras de son ami autour d'elle, et puis plus rien. Plus de bruit, plus rien. Juste du réconfort. Desserrant ses yeux, elle avait eu la surprise de voir que le Jutsu avait été arrêté par une bulle. Sauvés. Mais pour combien de temps. Pas si longtemps que ça. Les forces les avaient abandonnés. Ils s'évanouirent. La dernière chose que la jeune fille crut voir, ce fut le visage du Nuke-nin qui avait enlevé son masque, et qui les regardait avec curiosité.
Trou Noir. Bienvenue en Enfer. Notre nouvelle Maison.
C'est drôle comment les souvenirs pouvaient défiler. Et comment elle avait également pu défiler sur cette table qui ressemblait à une table d'opération normale, ne se plaignant pas d'être un cobaye. Est-ce qu'elle s'était déjà plainte un jour à propos de sa condition ? Elle ne se souvenait pas. Elle se souvenait avoir hurlé, tempêté pour ne pas qu'on la sépare de son Ami, mais ça, c'était normal. C'était une évidence, parce que son Tom c'était la moitié de son être, la moitié de son coeur, de son âme. « Jamais toi sans moi. » Son bourreau, son amour, son amant, son frère, son jumeau. Son tout, son rien. Elle se souvenait encore. Ce sentiment marqué au fer rouge, la première fois qu'on les avait séparés. L'un comme l'autre ne voulait pas être abandonné par son âme-soeur. Ami, un lien maudit, un lien sans lequel Shima aurait été incapable de survivre sans doute. Elle ne pouvait pas le laisser partir. Ca semblait être une évidence. Elle ne pouvait pas. Reste. Si son ami partait, elle avait cette impression horrible qu'elle ne le reverrait pas, quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise, qu'elle implore ou supplie. Et c'était impossible. Non son a-s (âme-soeur) ne pouvait pas la quitter. Pas lui, pas maintenant. C'était ce qu'elle avait pensé, c'était à ce moment là qu'elle avait réitéré la connexion entre les jumeaux, liant leur sentiments, les faisant souffrir tous les deux si on les éloignait, et le tous devant le médecin. Un geste si désespéré de sa part qui avait causé leur état d'aujourd'hui. Parce qu'ils avaient le pouvoir. Et comme ils avaient le pouvoir, ils devaient être domptés, maniés, façonnés. Comme un bijou. Oui un bijou parfait.
« Shima ? demanda alors la voix du médecin, tandis qu'elle se mettait à trembler. - Docteur Sy ... Où est Tom ? Voix froide, dénuée de sentiments. L'arme était presque prête. - Dans l'autre pièce, tu pourras le voir dans deux heures normalement ... - Je veux le voir ... MAINTENANT !! » Ton hystérique, encore une fois Shima paniquée. Elle paniquait souvent au début dès qu'il n'était pas à ses côtés, mais à force ça se calmait. A force, mais parfois des crises survenaient comme celle-ci et à chaque fois, ce genre de crise finissait par ...
Sommeil. Oubli.
Et l'oubli était étrangement rassurant. Trop rassurant de ne pas se souvenir de leur réveil dans un cachot sale et moisi, de ne pas se souvenir de leur première rencontre avec ennemi, de la peur qu'ils avaient pu ressentir en se trouvant devant son regard rouge perçant, devant son regard froid et cruel, de l'entendre dire qu'ils étaient « amusants », non c'était rassurant. Rassurant de ne pas se souvenir de leur captivité qui avait duré plus de six mois, dans le même cachot, de subir les railleries de certains shinobi, de ne dire mot, et de se rassurer près de son double. Six mois et plus avant qu'il ne les fasse venir à nouveau devant lui. Des enfants de treize ans, bientôt quatorze, apeurés. Et il y avait de quoi. On leur présenta le docteur Tak...,( raccourcit à Dr. Sy pour sa ressemblance avec un serpent.) et sans doute se rebellèrent-ils au début. Elle ne se souvenait plus. Elle ne voulait plus se souvenir, elle n'en voyait aucun intérêt, son A-S non plus sans doute. Après les séances d'oublis, il y eut l'apprentissage. Et Dieu que l'entrainement leur parut simple, leur forgeant de nouveau souvenir. Leur vie ? Elle ne se résume qu'à deux ans tout au plus. Deux ans d'apprentissage. Deux ans dans les endroits reculés de Kiri, en compagnie du monstre. Deux ans à forgé une arme. Ils étaient une arme, et alors ? Tant qu'elle était Shima elle était prête à tout réaliser.
Malheureux ? Oui sans doute cela l'était-il. Surtout pour leur ennemi, qu'ils avaient infiltré avec Brio. Le monde, un nouveau terrain de jeu.Epilogue : Showtime [size=11] [ Où quand les âme-Soeur entrent en jeu.] Le soleil se lève. Il se lève toujours. Et normalement les créatures des bas-fonds vont se coucher dans les contes. Elles se couchent quand la nuit se lève, mais pas ici. Le soleil se lève et Shima se lève aussi tout simplement. L'astre brille sur le Village. Un soleil d'hiver. Elle ne le voit pas. Enroulé dans ses draps, sa prison de tissus brûlante, contre son homme, elle ignore tout de l'heure qu'il peut actuellement être. Elle ne dort pas. Elle n'est pas éveillée non plus. Un demi-sommeil, un demi-rêve, un demi-tout. Elle somnole et c'est encore pire. Détester serait le verbe adéquat. Errer entre deux états sans parvenir à se lover dans l'un ou l'autre est des plus désagréables. Étouffement. Aucune envie. Non la jeune femme ne voulait pas se lever. Pas se lever quand tout allez bien autour d'elle, d'eux. Encore envie de paresser un peu. Elle voulait cracher au visage d'un matin qui n'est qu'un mensonge. Il renaît chaque jour que Merlin fait, identique à celui qui l'a précédé et à celui qui lui succèdera et ne laisse pas présager quoi que ce soit pouvant différer de la veille. Peu importe la catastrophe qui vous guette, de doux rayons continueront de frapper inlassablement votre fenêtre, comme pour masquer l'horreur. Il fait beau, la pilule sera moins dur à avaler, vous verrez. Habile bien qu'hypocrite consolation. Elle se leva pourtant, après avoir cligné plusieurs fois des yeux. Ah oui ... Elle était à Kiri, son esprit était ailleurs, comme toujours. « Tom ... murmura-t-elle alors hésitante. - Hum ... Shima ? répondit la voix encore ensommeillé de son âme-soeur. - Tu crois qu'on y arrivera ? C'était l'une des dernières fois où elle laisserait voir sa peur d'échouer, sa peur de disparaitre, et surtout de perdre le perdre. - Bien sûr ... Rien ne nous est impossible, n'est-ce pas. »Oui rien ne leur était impossible. Envoyée Kiri, elle servait le Village. [/list] | |
| | | Aiku Gin'Iro Fondateur ┼ Shishidaime Hokage ┼ Détenteur du Chakra Argentée
Messages : 177 Date d'inscription : 19/12/2009 Age : 33
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| Sujet: Re: Présentation de Shima Kokaku [En cour] Lun 28 Déc - 21:28 | |
| Bon bah que dire d'autre que parfait... parfait...
Je te souhaite la bienvenue Rokudaime Mizukage !
Tu peux allé faire ta fiche technique =) | |
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| Sujet: Re: Présentation de Shima Kokaku [En cour] | |
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